Le Che ! Je le découvre chez mon pote Hazoo (certes avec retard mais en tout cas avec une émotion à fleur de peau). Outre l'impact qu'il a eu dans ma jeunesse révoltée avec en prime une gueule sublime, j'avoue que grandeur nature sa tronche façon Hazoo me déconcerte quelque peu. S'y trouvent quelques nanas dénudées et criantes, voire meuglantes, qui ne me semblent pas en correspondance avec le personnage obsédé par la révolution au mépris de tous les dangers, à moins qu'elles ne crient au désastre de la perte d'une tel amant potentiel si séduisant.<br />
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Le Che en fait avait perdu toute idée de vie affective personnelle tant le sort des humains l'habitait. Et là, ici, je retrouve ce que Hazoo a décelé en cet homme si différent du commun des mortels. L'oubli de lui-même transparaît. Tout son esprit fut phagocyté par la mission quasi-divine qu'il s'était attribuée : mettre le feu là où l'injustice régnait. Il en perdit la vie et nous nos émois.<br />
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Bizzzzzzzzzzzzzzz